Moi, ça ne m'a jamais attiré, les filles en robe à coeur
Aux p'tites jupes à fleurs bien serrées, aux motifs de toutes les couleurs
Celles qu'ont des silhouettes de jaguar, un peu starlettes, un peu princesses
Une longue descente collant léopard et qui s'font refaire les fesses
Moi c'qui m'a toujours plu, c'est les filles en jogging sans couleur
Qui ont c'que vous app'lez un gros cul, et cette légère odeur de sueur !
Je fantasmais sur la tenue d'une Angélique, femme de ménage au resto-u
Qui me séduisait de ses grands yeux verts tout en passant la serpillière
Si je lui dédie (...)
(Ecrit il y a deux semaines dans un recoin de bloc-notes)
The sky is broken
I'm walking on the moon dust
Ce n'est pas vraiment le moment
Pas la bonne saison
Il n'est pas encore temps
Je n'ai plus de raison
La vie ne s'est pas arrétêe
L'avenir a juste été amputé
Il ne nous reste plus grand chose
Même plus les regrets
S'ouvrir le ventre à mains nues
Ca ne saigne même pas
La douleur m'est insensible
Je suis presque paisible
Les os sont reliés entre eux
Mais n'ont aucune cohérence
Ils n'ont pas idée de leur manque de sens
Je ne serais plus jamais deux
Je ne serais jamais plus de (...)
(Long texte écrit à 12h48 sur un morceau de notes, dont voici quelques extraits, beaucoup d'auto-censure, peut-être que je rendrais plublic le texte original plus tard, je juge que pour le moment c'est encore beaucoup trop proche et personnel pour être publié. Et beaucoup de peur de la réactions des personnes concernées qui liront ce texte. Il y a trop de choses qui pourraient être mal prises. Les phrases entre crochets sont postérieures à l'écrit original.)
C'est une constante en ce moment, je suis fatigué.
L'autre constante c'est que je suis amoureux.
L'inconnue dans mon (...)
Je suis éternelle
Repliée entre mes phalanges
Ce morceau d'aile
Quelques restes d'un ange
Et je te dis adieu
Je t'oublierais peut-être un jour
Si je me perds dans tes yeux
Et si mon esprit n'est plus aussi lourd
Et je te dis adieu!
Et je te dis adieu!
Et je te dis adieu!
(D'après Yslaire, mémoires du XXe Ciel, et Olivier Libaux, L'héroïne au bain) (...)
(Version originale et intégrale de [->19741]. Je n'aime pas ce texte. Je le trouve mal écrit. Beaucoup de choses mal exprimées. Des mots pas forcément justes. Des sentiments très brouillons. Bref je ne l'aime pas du tout. Merci d'être indulgent...)
05/12/2004 12h48
C'est une constante en ce moment, je suis fatigué.
L'autre constante c'est que je suis amoureux.
L'inconnue dans mon équation c'est ma capacité de discernement.
Je me suis levé à 8h40 ce matin. C'était plutôt difficile pour un dimanche. Mais je savais qu'on comptait sur moi. De plus ça me passionne de faire ce pour (...)
Bien sûr, elles iront toutes les deux au bord de la mer pour y pêcher des crabes.
La grand-mère: Je soulève ce caillou... Oh! Regarde le gros!
La petite-fille: Attrapes-le!
La grand-mère: On va leur faire une petite piscine!
La petite-fille: Et là, mamie, on met le papa crabe, la maman crabe, et les enfants...
La petite-fille: Oh! Regarde celui-là il fait la bagarre!
La petite-fille: Je peux leur donner à manger? Et je peux les prendre à la maison mamie?
La petite-fille: Mamie! Ca va être la nuit bientôt...
La petite-fille: Regarde, le soleil, il va faire dodo dans l'eau...
(...)
Quand le métal t'agrippe la peau
Quand le vent déchirant te lacère
Quand la glace te saisi les entrailles
Quand le froid te fait frissonner
Il ne te reste plus qu'à te blottir
Dans les bras d'un(e) autre
Et sourire. (...)
Cydoor à écrit aujourd'hui:
"Il arrive que pendant une nuit, l'on fasse un jolie rêve mais qui pourra se transformer en cauchemar à notre réveil. Vous rêvez que vous devenez riche, que vous avez du pouvoir, que vous êtes une star, et le matin, au réveil, vous revenez sur terre. Vous reprenez votre petite vie et votre routine. Ca file un sacré coup."
Je tenais à remettre ici le commentaire que j'ai laissé:
Pour moi le cauchemar serait justement de devenir riche, avoir du pouvoir, être une star... Le cauchemar ça serait d'être un héros. Le cauchemar ça serait de ne plus être (...)
Songes d'une nuit d'hiver. Conflits. Discussions. Oppositions. Souffrances. Il me parle plus librement, je le ressens. J'en suis heureux. J'ai envie de créer des relations de confiance et de parole autour de moi. Des relations claires. Enfin réussir à changer, à ne plus reproduire les mêmes erreurs. Je sens la fatigue m'envahir après un week-end chargé et avant une semaine épuisante. Je me pose la question de quand est-ce que je pourrais enfin dormir sans me faire réveiller par un réveil et des contraintes. Je réécoute l'album de Jane Weaver, Like an aspen leaf. La voix de Jane (...)
Je me réveille difficilement avec l'impression d'avoir avalé des clous dans la gorge. Il est dix heures et quart. Je sors un peu la tête de sous les couettes. Il fait froid dans la chambre. Le fonctionnement du chauffage est assez aléatoire ces derniers jours, expliquant probablement l'arrivée des clous dans ma gorge. Pas envie de sortir de sous mon lit. Je m'aperçoit que je devrais être en cours depuis deux heures et quart. Je réfléchit quelques secondes et me rappelle vaguement m'être fait réveiller à six heures par le son du réveil que j'ai tout de suite envoyé balader. Je me (...)
Brutal/beau
Attaché/Traîné
Sirènes hurlantes/Gratte-ciel cercueil
Bordélique/Chaotique
Créateurs d'ordinateurs
Feux de circulation pour Strip-Tease
Bastons d'ivrognes qui s'égorgent
Amis empoisonnants/Menteurs et profiteurs
Spectateurs stoïques
Et vous êtes tous froids, de froids briseurs de coeur
Alcoolique effondré
Les canettes sont tombées
Perdu votre esprit dans un crime violent
Stroboscopes et flash/Entailles de couteau
Lumières claires/Amoureux délaissés
Tâches de pisse et cerveaux écrasés
Production de corruption/Paquets de clopes
Racket de prédiction
Vous êtes tous (...)
Yeah I can hear the music tear
Tearin' through my bones
I had no idea it was going to end in such tragedy
Oui je peux entendre la musique pleurer
Pleurer à travers mes os
Je n'ai pas idée de comment peux se terminer une telle tragédie
Come home, come on back to me
Come home, come on back to me
Come home, come on back to me...
(D'après Lo-Fidelity Allstars, How to operate with a blown mind) (...)
Contes impromptus: conte improvisé pour une ou plusieurs personnes, un soir de malheur, un soir de bonheur. Etat brut, aucune retouche (sauf ponctuation). 14 octobre 2004, 21h17
Il était une fois une mèche de cheveux sur une photo. C'était une petite mèche toute mignonne d'une fille très très jolie. Alors qu'elle se baladait avec ses copines les autres mèches de cheveux, Elisa, la petite mèche de cheveux, se trouva à un moment séparée des autres mèches de cheveux par l'effet de la courbure de la tête de la jolie fille. Elle était tout d'un coup plus libre que les autres. Elle (...)
(Merci à Athanata pour ce poème impromptu à deux claviers. 20 décembre, vers minuit. Lui et Elle. Lui est en italique. Elle ne l'est pas.)
Dis mon amour, tu m'emmène à Tomsk?
... Un jour peut-être ...
Ce soir?
Comment veux-tu y aller ?
On prends le premier train pour Paris Gare de Lyon.
Ensuite train pour Moscou.
Puis St Pétersbourg.
Et enfin trans-sibérien jusqu'à Tomsk.
Es-tu sérieux?
Mon amour, ne prends pas de bagages.
Juste un manteau très chaud.
Il fait froid dans l'infini blanc.
Oui ...
Mon amour, ne prends rien à lire.
Nous allons écrire notre histoire.
Mon (...)
Je n'étais pas le seul à chercher qui est Léa. Je ne sais toujours pas qui elle est. Mais Louise sais qui elle n'est pas.
Elle est pas terroriste, elle est pas anti-terroriste
Elle est pas integriste, elle est pas seule sur terre
Elle est pas commode, non elle est pas comme Aude
Elle est pas froide, elle est pas chaude pour nu realiste
Elle est pas crediteur
Elle est pas mechante, mais putain qu'est ce qu'elle est chiante
Lea
Elle est pas interimaire, elle est pas comme ma mere
Elle est passagere, elle est pacifiste,
Elle est pas d'accord, elle est passionnee
Elle est pas fute fute, elle (...)
Silent tears are made by crystal pain.
Il est parfois difficile d'appréhender les gens. Il y a des personnes qui m'apparaissent comme transparentes, leur malaise, leur bonheur, leur souffrance, transpirent à travers d'eux, dans leur regard, leur attitude, leurs mots. Ces gens-là sont des livres ouverts pour moi, même s'il m'arrive de me tromper à leur sujet bien heureusement, et ce sont curieusement la plupart du temps des gens qui essayent de cacher leurs sentiments, de ne pas montrer leur souffrance, qui sont le plus transparents. Parce qu'ils envoient plus ou moins inconsciemment des (...)
En fait en rentrant chez moi tout à l'heure je voulais écrire des trucs pour plusieurs personnes. Mais je me souviens plus. C'est dommage. On verra si demain je me souviens, mais je pense que c'est peu probable. Je me souviens juste que je voulais dire Je t'aime à plusieurs personnes. Ca me démangeait. Alors voilà je le dit, même si je préfèrerais le dire en vrai, dans la réalité. Je t'aime. (...)
Manque de présence. Besoin d'être en présence avec des gens que j'aime et qui tiennent à moi. 24h/24. Mais seul. Triste. Un peu de déprime. Mais sûrement dûe à fatigue.
Il y a des soirs comme ça, où la vie n'est pas si simple qu'on aimerait qu'elle le soit... (...)
J'ai pas envie de passer ma vie à fuir de peur,
l'avis des autres m'importe bien moins que mon bonheur.
Et si l'on nuit, aux droits qui sont les miens ;
Je répondrai par la seule force de mon poing.
Se battre pour ses convictions et s'engager, sans jamais renoncer !
Désaccord, je passe mon temps à supporter,
une autre forme, une autre manière de penser.
Combien de temps cela va-t-il encore durer ?
Je n'en peux plus pourtant jamais ne me battrai !
Par ma voix, les mots riment en "non-violence", "puissance"
J'ai pas de raison de rire de son malheur,
et pourtant bien souvent c'est (...)
De toutes manières tout fout le camp.
Je t'en prie attends-moi.
Je t'en prie oublie-moi.
Il n'y a plus assez de temps.
De toutes manières tout fout le camp.
Et puis la vie
Qui nous trahit
Qui nous en veux tant.
De toutes manières tout fout le camp.
Je t'en pris attends-moi.
Je t'en prie explique-moi.
Si tu m'aime...
De toutes manières tout fout le camp.
Même la vie s'enfuit. (...)
Triste. Déçu. Enervé. Sentiment d'être trahi. Je souffre. J'ai peur. Abandonné de nouveau? A qui faire confiance? Pourquoi tout n'est pas plus simple? (...)
Je ne trouvais pas les mots ce soir. J'ai trouvé l'image qui exprime ce que je ressens.
Il y a les blessures du corps et il y a les blessures du coeur. Les deux finissent par cicatriser. Mais il reste toujours une cicatrice, une trace qui fait repenser à la douleur et la souffrance. Il y a des cicatrices qu'on voit et celles qu'on ne voit pas. Voir une cicatrice visible pour imaginer les blessures qu'on ne voit pas...
(...)