Les Chroniques de Valentin

Ich bin ewig

Je suis éternelle
Repliée entre mes phalanges
Ce morceau d’aile
Quelques restes d’un ange

Et je te dis adieu
Je t’oublierais peut-être un jour
Si je me perds dans tes yeux
Et si mon esprit n’est plus aussi lourd

Et je te dis adieu!
Et je te dis adieu!
Et je te dis adieu !

(D’après Yslaire, mémoires du XXe Ciel, et Olivier Libaux, L’héroïne au bain)