Les Chroniques de Valentin

Nuits d'ivresse (4)

Il y a celles qui ont la moiteur des grands étés. Et celles qui en ont presque peur. Et puis celles dont on a qu’une envie c’est y goûter.

J’aime le sexe de mes amantes. Je n’y peux rien. C’est irrésistible chez moi. C’est un peu une gourmandise inavouée.

Y’a leur corps nu collé contre mien. Souffles chauds. Courbes qui s’épousent. Et son sexe qui se frotte sur ma cuisse. Je n’ai qu’une seule envie descendre en mordillant ses seins, en tournant autour de son nombril pour dévorer son sexe.

C’est un peu un havre de paix, là où on est tout puissant, où on contrôle son plaisir à elle. C’est étrange et plaisant. Savoir que sa langue peut s’inviter n’importe où, au gré de ses fantaisies. Que sous ma bouche son corps se tends et se relâche.

Et puis il y a celles qui ont le goût et l’odeur du miel. C’est délectable. Je suis l’abeille. Celle qui veux juste faire ce qu’elle aime. J’aime le sexe de mes amantes. Parce que c’est ce qui est le plus plaisant pour moi dans le sexe. Comme la cerise sur le gâteau.

Le sexe de mes amantes est beau et attirant. Certaines n’aiment pas ça, mais pour moi c’est juste le plus beau présent qu’elles pourraient m’offrir, de me délecter de leur sexe.