Que le monde est petit
Valentin a passé toute la matinée de samedi en compagnie de Léa. Ils se sont retrouvés en ville, à Epinal. Ils sont allés acheter des CD puis sont allés s’asseoir sur un banc au parc Darcy. Ils ont peut-être passé une heure ou deux heures sur ce banc. Valentin n’aurait jamais voulut que ce moment finisse. Mais Léa à dû reprendre son bus pour rentrer chez elle. Et Valentin est rentré chez lui en bus. Tout seul. La tête pleine d’images, de sentiments et d’amour. A peine quelques minutes après avoir quitté Léa elle lui manque déjà. Aujourd’hui dimanche Valentin ne la verra pas. Elle est à une compétition d'équitation. Ca va faire presque vingt-quatre heures qu’il a quitté Léa et Valentin est triste. Il est triste d'être loin d’elle. Il voudrait être avec elle tout le temps, le jour, la nuit, tout le temps. Mais il ne peut pas. Il se sent seul et vide sans elle.
Hier Valentin s’est aperçu que sa mère avait un collègue du même nom que le père de Léa. Vérification faite, le collègue de la mère de Valentin était bien le père de Léa. «Que le monde est petit!» écrivit Léa à Valentin par portable. Pour Valentin, depuis lundi le destin ne l’a pas oublié.
Valentin attend patiemment lundi matin pour pouvoir revoir Léa. Elle lui manque de trop. Il l’aime de trop. Trop c’est trop.