Les Chroniques de Valentin

Brouillon en l'état.

21 avril 2005. 1h24. Extraits de brouillons.

So lonely to forget that we were lovers one day. Trust me, we were ourselves one day.

Crois-moi, vraiment, il est arrivé des moments où les rêves étaient en moi, en nous.

Grandir comme un enfant. Sans croire que le futur existe.
Sans même savoir qu’il pourrait exister.

And I miss you. Like the deserts miss the rain. Je frissone de peur quand tu me dis "mon ange".

Sentiments de solitude, d’abandon. Ne pas comprendre.
T’y crois toi à l’espoir ? Pas moi.

Être amoureux ça fait toujours mal. Et on ne choisis pas d'être amoureux.
Besoin de tendresse. De partager du temps tranquillement, comme ça, pour rien.

Toujours avoir peur de dire "je t’aime". Se retenir. L’amour c’est dangereux. Le laissez pas s'échapper !

(Schéma chaotique des relations Amour <-> Solitude <-> Amitié <-> Tendresse <-> Souffrance <-> Amitié (dans le désordre) impossible à reproduire tellement il est incompréhensible)

Toujours. Sentiment effrayant. Désesperant. Où êtes-vous ?

J’ai espéré pendant près d’une heure (...)
Mais non. Elles ne sont pas (...)
Je me sens abandonné.
Lost in myself.
Je suis perdu à l’intérieure. Je me suis oublié.