Les Chroniques de Valentin

Tu sais moi avant toi j'en ai piétiné des coeurs

Je t’en prie, finis-moi !
J’en peux plus ramper.
Je deviens fou, tu sais
Là, comme un échoué.

Puis je sais je suis glauque avec mes chansons tristes
Mais j’emmerde le monde et il me le rend bien,
C’est un peu comme si nous étions quittes.

Toi l’autre que jamais, je te prie maintenant
De finir le travail que tu as commencé,
Et s’il te plaît avec le sourire.

Non n’aie pas de remords de me donner la mort !
Tu sais moi avant toi j’en ai piétiné des coeurs
Qui avaient vu en moi, ce que moi j’avais cru voir en toi.

Du bourreau au sauveur, de l’agneau au vampire,
On est tous un jour l’un, un jour l’autre, c’est le jeu
Qui nous tue puis,
Qui fait qu’on vibre !

(Saez, Quand on perd son amour, 2008)